Une jeune étudiante de la Sorbonne a été arrêtée. La police a retrouvé chez elle une kalachnikov et un testament où elle faisait part de son intention d’attaquer des français les manifestations populaires à Rennes.
Le ver est bel et bien dans le fruit.
Alors qu’Emmanuel Macron et son gouvernement tentent de faire croire qu’ils volent au secours des grandes entreprises et de l’Europe, la réalité est là. Les pratiquants du taqîya (c’est-à-dire la dissimulation de la foi musulmane à autrui afin d’organiser notamment la perpétuation d’actes terroristes) sont présents sur notre territoire. Ce sujet évincé des débats est pourtant de la responsabilité de l’exécutif.
La France, pays des droits de l’Homme, de l’art, de la culture et des joies de la table représente tout ce que déteste ces fanatiques.
La France peut être fier de ses racines chrétiennes comme de son acceptation des autres cultes. La religion musulmane, c’est un secret de polichinelle, pose problème en France, non dans son intégralité, ni dans son dogme mais à cause de la montée d’un extrémisme radical et face à un texte et une pensée interprétée.
Il manque un cadre à l’administration du culte musulman. La question de l’Islam est un sujet terriblement épineux et clivant pour les français. Le président Macron pourtant ne prend aucune mesure pour enrayer cette difficulté et ce climat de colère ne fait qu’augmenter une impression de suspicion et de trouble.
L’affaire de cette étudiante ne peut plus laisser indifférente la classe politique, bien au contraire. La lutte doit être dure et l’épidémie enrayée. Il faut arrêter les prédicateurs de cette haine de la France, de sa culture et de sa civilisation.